Salamaleykum,
Zarathustra :
J'ai fais un rêve
Ou bien un cauchemar acide
Qui ma mené sur une terre aride
Un endroit d'où parfois surgit le vide
Là ou la haine et la peur ce réunisses
Dieu, faites que je les maudisse
Tout prés de toi ô douce mort
Je garde mon âme, prends mon corps
Loin du bonheur et des paradis mensongers
Je n'oublie pas que ce monde même est passager
J'ai lu dans tes yeux tant de rage et de blessure
Que mon corps en ressent encore les morsures
Ils m'ont conté comment haïr
Je ne cèderai pas au point de haïr
Tu m'as appris à craindre
Mais il me reste, même malingre
Mes songes et mes espoirs
Même prisonniers dans un manoir...
Besslama,
AUGUSTUS