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 Histoire d’Alger

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saadi
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MessageSujet: Histoire d’Alger   Histoire d’Alger EmptyVen 10 Juin - 23:10

En parlant d’Alger, il faut toujours évoquer le coeur d’Alger, La Casbah, cette ville dans la ville d’Alger et de par son importance, elle a été classée patrimoine universel par l’UNESCO en décembre 1992.
Ce site historique est en restauration. Alger ou " ELDJAZAIR" d’où son nom en arabe qui veut dire "les iles" et de son nom phénicien Ikosium qui veut dire l’ile aux mouettes.

Ikosium, le comptoir phénicien, qui
Alger la blanche
deviendra la capitale de l’état algérien a vraisemblablement été fondé au VIIème siècle avant l’ère chrétienne. Son nom, qu’attestent les pièces de monnaie trouvées en 1940, lui vient des îlots qui lui font face. Cité autonome de Maurétanie, Ikosium fera partie, en l’an 25 du royaume de Juba II, avant son annexion par Rome en l’an 40. La cité devient ainsi un municipe romain sous le nom latinisé d’Icosium. En 75, elle reçoit le droit latin de l’empereur Vespasien. Le site de la cité avait alors pour limites : le lycée Emir Abdelkader, le square Port Said, la mosquée Ketchaoua et le quartier de la Marine. De nombreux objets et des textes épigraphiques attestent de la présence romaine dans les alentours, mais les renseignements relatifs à la ville sont très sommaires.

Après la chute de l’empire romain, l’histoire d’Alger se confond avec les bouleversements des invasions vandales (429-534). Nous signalerons, toutefois, qu’au cours de cette période, la ville a été pendant un laps de temps le siège d’un évèché. Au cours du 7ème siècle, à l’aube de l’Islam, s’installe sur le site la tribu des Beni Mezrenna. Qui s’adonne à l’agriculture et à l’élevage. Elle entretient, par ailleurs, des relations commerciales avec les villes de la rive nord de la Méditerranée.

En 340H / 952 JC., Bologuine Ibn Ziri Ibn Manad fortifie et agrandit le site occupé par les Beni Mezghana et lui donne le nom d’El-Djazair, par référence aux quatre îlots qui faisaient face au rivage. Ce nom donnera, par altération, Alguère en catalan (1375), puis Alger. A partir de cette période, l’histoire de la ville d’Alger, est intimement liée à celle du Maghreb central.

Du 10ème au 15ème siècle. El Djazair subit la domination de tous les prétendants qui se sont disputés le pouvoir au Maghreb central. Alger a ainsi été, du 10ème au 15ème siècle, à la fois et selon les circonstances, Ziride, hammadite, Almoravide, Almohade, Hafside, abdelwadide puis, enfin, indépendante.

Au cours du 15ème siècle, c’est la tribu des Thaâliba (dont est issu le célèbre patron de la ville Abou Zeid Abderahmane Ben Mekhlouf At-Thaâlibi) qui gouverne la ville. Dès les dernières années du 15ème siècle, Alger comme les autres villes du littoral maghrébin subit le contrecoup de la "Reconquista" espagnole. La population s’accroît avec l’arrivée de nombreux émigrés andalous et la ville s’agrandit. En 1510, les Espagnols qui tentent de la soumettre construisent la forteresse du Penon. Face à la persistance de la croisade chrétienne, la population d’Alger sollicite la protection des frères Barberousse qui s’installent à Alger en 1516 L’arrivée des frères Barberousse à Alger va changer radicalement la destinée de la ville. Kheir-Eddine, qui succède, en 1518, à son frère Arroudj, fait face à de nombreuses attaques espagnoles. Le 17 Mai 1529, il détruit la forteresse du Penon, édifiée par les Espagnols et construit la jetée qui va relier les îlots à la terre ferme. Pendant cette période "Ottomane", le siège du gouvernement et de l’administration se situait au Palais de la Jenina, dans la partie basse de la ville. S’y installeront les Beylerbeys de 1534 à 1585, les Pachas de 1585 à 1659, les Aghas de 1659 à 1971 et, enfin, les Deys de 1671 à 1817. Il est ensuite transféré à la Casbah Jusqu’en 1830. Capitale du pays durant la période 1529-1830, Alger est une place forte disposant d’une flotte redoutable qui lui confère une autorité sans égale en mer. Du 16ème au 19ème siècle, outre le palais de la Jenina. Limité par la place du Diwan, de luxueuses demeures de dignitaires et de hauts fonctionnaires se construisent dans la partie basse de la ville : Dar Hassan Pacha, Dar Aziza, Dar Mustpha Pacha.

Cette partie de l’agglomération devient le quartier des affaires. Une grande rue commerçante se développe, allant de la porte Bab El oued à la porte Bab Azzoun. C’est la zone des souks, assez proche du Palais de la Jenina. A la veille de l’occupation française, Alger, largement rebâtie après le tremblement de terre de 1716, s’étend, dans la partie comprise entre la rue Benganif, le boulevard hahkad, la citadelle (Casbah) et le port, soit 3200 mètres de remparts avec cinq portes qui l’enferment. les faubourgs constituent la campagne avec de belles villas enfouies dans un cadre de verdure et de vastes jardins qui faisaient l’admiration des Européens. La ville haute, le Djebel comme on l’appelle, constitue la vraie ville avec ses mosquées, ses zaouias et ses rues étroites.

1529 - 1830 TROIS SIECLES DE PRESENCE TURQUE L ’ Etat algérien, plus connu sous l’appellation "Régence d’Alger" fut, dans les faits, dirigé pendant trois siècles par les janissaires, milice turque installée à Alger après l’arrivée des frères Barberousse.

La réalité du pouvoir était détendue par cette corporation qu’on appelait l’"Odjak" ou Tafias et qui a "enfanté" presque tous les Beylerbeys, les Aghas et les Deys jusqu’à l’occupation de l’Algérie par la France. A l’intérieur du pays, les Turcs n’ont occupé que "quelques postes de surveillance. Ils laissèrent les populations rurales entre les mains des féodaux et confréries religieuses, dont les exigences les poussèrent très souvent à la révolte. Ce manque de contacts directs avec les autochtones fit que les Turcs, étrangers, demeurèrent étrangers durant les trois siècles de leur présence en cette terre. Ils furent cependant un rempart solide contre l’invasion de la chrétienté, au moment où l’esprit de "croisade" dominait encore les actions de l’Eglise, et de certains monarques."
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saadi
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MessageSujet: la colonisation française   Histoire d’Alger EmptyMar 14 Juin - 13:58

Après la défaite de sa flote dans la bataille de Navarin en 1827 et les pertes sévéres qu'elles y subit aux côtés de la flotte ottomane face à la coalition des forces navales françaises, britaniques et russes, l'Algérie va devoir faire face à l'agression la plus barbare de son histoire lorsque Charles X décide l'expédition de Juin 1830 sous la conduite du Général de Bourmont et da l'Amiral Duperré, qui débarquent sur la côte de Sidi Fredj.

Le peuple algérien, qui prit les armes dès les premières heures de l'agression, poursuit la résistance sur toute l'étendue du territoire national, notament à Constantine et à Annaba, où le Bey Ahmed lève des troupes qui stoppents l'avancée des généreaux français.

Mais c'est surtout Abdelkader, fils de Mahieddine qui organise dès 1832, date de sa proclamation comme Emir et sur une grande échelle, une résistance menée de main de maïtre par un Etat qui frappe la monnaie, léve les impôts, administre le territoire, forme des arsenaux approvisionnés par les fabriques nationales, entretient des relations diplomatiques à partir d'une capitale, Mascara, autour de laquelle une armée populaire entreprend de contenir et de repousser les assauts colonialistes.

La réalité de cet Etat se manifeste avec éclat lorsque l'Emir Abdelkader contraint le Général Desmichels à signer le traité du même nom en 1834 et administre de sèrieux revers à l'armée francaise dans la bataille de la Macta en 1835, et dans celle de la Tafna où Bugeaud signe avec l'Emir le traité de 1837. L'attaque du camp de l'Emir en Mai 1843 par le duc d'Aumale et la prise auparavant de la ville de Constantine (1837) inaugurent une serie d'insuccés qui débouche à partir de 1847 et jusqu'en 1881 à la colonisation de tout le nord du pays.

Celle-ci est une colonisation de peuplement spoliant les meilleurs terres du pays, expropriant et chassant les paysans des plaines vers les montagnes avec l'aide des grandes banques et des sociétés foncières capitalistes.

Deux millions d'hectares sont pillés de cette manière en 1871 notamment après l'insurrection de Mokrani, et 500.000 colons s'installent sur les grandes plaines expoitant les paysans algériens dépossédés par la loi Warnier. Il seront un milion à la fin de la deuxième guerre mondiale qui extrvertissent l'économie nationale, la rattachant à des intérêts étrangers au peuple algérien.

La résistance qui s'est dans un premier temps poursuivie par les armes avec les insurrections des Zaâtcha (1844), des Ouled Sidi Cheikh (1864), de Mokrani, Boumezreg et Cheikh El-Haddad (1871), de Bouamama (1881), de Boumaza, de Boubaghla, de Fatma N'Soumer, d'El Brakna, de Nasser Benchohra, de Bouchoucha, de Cheikh Amoud au Hoggar (1920) attestant l'irrédentisme de la Nation, a revétu à la fin du siècle des formes culturelles, religieuses et sociales décisives qui ont réussi à sauvegarder entièrement le ciment de la personnalité nationale: l'Islam et la langue arabe, préparant l'avénement du mouvement nationaliste.
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MessageSujet: wawawa   Histoire d’Alger EmptyMar 14 Juin - 18:15

wawawa saadi tu devrais faire prof d'histoire kho rigolo
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MessageSujet: Re: Histoire d’Alger   Histoire d’Alger EmptyMar 14 Juin - 23:36

tanket pas khou kont merahom en 1830 ihihihihihihih dent2
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MessageSujet: La Bataille d'Alger (le film)   Histoire d’Alger EmptyMar 14 Juin - 23:59

Le film de 116 minutes de Pontecorvo dramatise l'une des luttes anti-impérialistes les plus sanglantes du vingtième siècle - la rébellion de 1954 à 1962 contre le règne colonial en Algérie, l'une des colonies les plus anciennes et les plus vastes de la France.

Pendant le conflit de huit ans, l'armée française et ses milices alliées tuèrent jusqu'à un million d'Algériens. A Paris, le Parti socialiste de Guy Mollet, qui menait le gouvernement avec François Mitterrand comme ministre de l'Intérieur, passa la loi sur les forces spéciales donnant un blanc-seing à l'armée en Algérie. Assassinat, torture et viol étaient des banalités. Un général de premier rang s'en vanta d'ailleurs plus tard : « On nous avait donné main libre de faire ce qu'on considérait nécessaire. »

Des dizaines de milliers d'hommes, de femmes et d'enfants innocents furent torturés et, à Alger seul, plus de 3.000 personnes qui furent arrêtées par les forces françaises « disparurent ». Les programmes de « pacification » français forcèrent deux millions d'Algériens à quitter leur domicile, beaucoup furent internés dans des camps de concentration clôturés par des fils de fer barbelés et virent la destruction de plus de 8.000 villages.

Près de deux millions de soldats servirent pendant le conflit, y compris l'actuel président français Jacques Chirac et Jean-Marie Le Pen, le dirigeant du Front national raciste. Le Pen fut accusé d'avoir participé activement à la torture de prisonniers dans la notoire Villa Sesini à Alger en 1957.

Bien que le film de Pontecorvo n'attire l'attention que sur un aspect de la guerre - la bataille d'Alger en 1954-57 -, c'est une uvre remarquable. Près de 40 ans après sa première sortie, il a une résonance formidable parce qu'il démontre la façon d'opérer de l'oppression coloniale contemporaine et révèle ce qui provoque et alimente un mouvement insurrectionnel nationaliste. En fait, les sièges de villes entières, les rassemblements de masse et la torture montrés dans le film préfigurent les attaques militaires israéliennes contre les Palestiniens et les méthodes employées aujourd'hui par les forces américaines en Iraq et en Afghanistan. Ce contexte, allié à des techniques cinématiques, une distribution adroite des rôles et une bande sonore composée par Ennio Morricone et Pontecorvo, donnent au film une authenticité extraordinaire et une intensité dramatique.

La Bataille d'Alger est centré sur deux caractères principaux : Ali La Pointe (Brahim Haggiag), un membre du FLN (Front de Libération Nationale) et symbole de la résistance algérienne, et colonel Mathieu (Jean Martin) commandant les parachutistes français qui fut nommé pour écraser la résistance.

La Pointe issu de la Casbah, une section d'Alger de deux kilomètres carré, très peuplée et réduite à la misère, est un personnage clé dans l'insurrection armée. Mathieu dont l'exemple pris fut Massu, chef de la 10ème division notoire de parachutiste, est un représentant au sang froid de l'armée française, prêt à utiliser n'importe quel moyen pour écraser le mouvement nationaliste.

Le film commence en 1957. Mathieu et ses officiers viennent juste d'extirper un aveu d'un Algérien à moitié nu, mal rasé et profondément affligé. L'homme d'un certain âge a révélé l'identité de La Pointe et l'endroit où il se trouve. Alors que se déroule le générique du film, des parachutistes localisent La Pointe et trois autres combattants de la résistance, y compris une jeune femme et un garçon de 13 ans cachés dans une cavité secrète dans la Casbah. On leur donne un ultimatum ­ se rendre ou la menace de faire tout sauter.

Lorsque La Pointe et ses camarades réfléchissent sur leur sort, le film revient à 1954 quand le FLN lançait des opérations militaires majeures à Alger. Tout en adoptant une forme quasi documentaire, le film recrée alors des stades clé de l'insurrection et de l'évolution politique de La Pointe.

La Pointe, un ancien boxeur et petit voleur, décide de rejoindre le FLN après avoir assisté à l'exécution par guillotine d'un combattant de la résistance algérienne par le gouvernement colonial français. Après avoir mis à l'épreuve sa loyauté et son courage politique, la direction du FLN mobilise La Pointe dans une série d'attaques terroristes audacieuses mais sanglantes. Les résidents français répondent par des bombardements de nuit et des attaques dont le motif était le racisme.

Alors que les tensions croissent, les parachutistes sont mobilisés pour écraser la résistance. Mathieu met la Casbah sous état de siège avec contrôles militaires, raids et arrestations en masse. Le FLN réagit avec plus d'assassinats et Mathieu déchaîne un programme de torture systématique et autres formes de punition collective. Alors que les attaques et les contre-attaques s'aggravent, les femmes de la Casbah rejoignent le FLN et font détoner des bombes dans des quartiers civils français. Mais l'intensification de la terreur militaire française et l'échec d'une grève générale appelée par le FLN fait finalement beaucoup de victimes et la rébellion est écrasée en 1957.

Cependant, le film ne se termine pas avec une population pacifiée mais par l'irruption, quelques années plus tard, d'une manifestation de masse et d'un nouveau soulèvement algérien qui, éventuellement, força la France à signer les Accords d'Evian le 19 mars 1962 et de céder le pouvoir au FLN.

En août de l'année dernière, le département de la Défense, la chaîne de commandement des Special Operations and Low Intensity Conflict du Pentagone décida de montrer La Bataille d'Alger à ses employés. Ceci se produisit alors que la résistance iraquienne commençait à intensifier ses opérations contre l'armée des Etats-Unis et que le secrétaire à la Défense américain, Donald Rumsfeld, commençait à exiger des « renseignements améliorés » de ses spécialistes de l'interrogation en Iraq et d'ailleurs. David Ignatius, écrivant pour le Washington Post, fit la déclaration absurde que c'était un « signe encourageant que l'armée soit en train de penser créativement et de manière peu conventionnelle sur l'Iraq ». Cependant la vraie raison de la projection est d'encourager encore plus d'attaques sadiques et illégales contre les prisonniers retenus par l'armée des Etats-Unis.
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MessageSujet: Re: Histoire d’Alger   Histoire d’Alger EmptyMer 15 Juin - 0:20

saadi bla 3jaze?? gros yeux gros yeux
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saadi
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MessageSujet: Re: Histoire d’Alger   Histoire d’Alger EmptyMer 15 Juin - 0:27

c notre histoir mon frere j fait la guerre ihhhhhhhhhhhhhhhhh ya hessrah moi et si lakhder allah yerahmo je suis seul saadi zedam c moi qui a tuer adolf hitler (matbiyarch h'chichi) bandit
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