Au fin font de mon âme ;
Je contemple ma rage qui ce développe on être.
Un être qui sème la peur et la terreur,
Pas loin de moi je souffert en silence ;
Et je colle les morceaux d’un passer moins éclairé.
A chaque pas quand avance ; la bête grandie.
A chaque matin quand on se lève on ce fait rattraper de nos démons,
ce n’est qu’un répit
Mes pensées deviennent un teint sombre
Pour ceux qui l’apercevront
Elle se diluent dans les mirages pour n’en émerge,
Qu’au coucher du soleil
Son martyre est feint, ses larmes sont froides
Ce qu’elle sanctifie le matin, elle l’abjure la nuit
Ce qu’elle revendique sur la place, elle s’en préserve sur la plage
Mais qui suis-je ?
Que faire !
Tout deviens flou à l’approche de cette lumière
Elle nous enveloppe, elle nous berce
Mais elle nous brûle les ailes
Où est le réel en tout ça !
voilà
mu