Mouloud Feraoun

salam
Mouloud Ferawn le selebre ecrivin algerien est né le 8 mars 1913 à tizi_hibel.
"le fils du pauvre" et sans doute l'oeuvre la plus connu de cet auteure car sans roman a etais traduit en russe en allemand en polonais et en arabe car l'oréginalle a étais ecrit en français .
ce livre parlle d1 algerien qui lutte pour echapper a son destin 1 homme bien modeste et intéligent 1 homme qui a vaicu la misaire la soufranse mais qui a surtou connu l'amour de la parents de ses parents et de sa famille
1 modeste instituteur du bled kabyl comme l'a decrit Mouloud Feraun.

mouloud feraoun a aussi ecris "la tere et le sang" et bien d'autre
cet ecrivin nous laisses reveures quand on lis ses roman il nous donnes envie de vivre ses histoirs et de voir la beautée de la kabyli comme il a decrit dans tous ses livres.

les romans de Moulou Feraoun selon moi c'est des romans a ne pas manquer

Salam Chaima Lee,

Le fils du pauvre a l'air pas mal, tu ne sais pas à quel édition est publicé ce livre ce livre ?

A défaut de partir en Algérie, je le lirais en pensant au bled et à toi ;)

So²

C'est noté! ;)

Encore merci Chaima Lee!

Yasmina Khadra( de son vrai nom MOULESHOUL) je lui ai lu "cousine K" je compte lire prochainement "l'attentat"(du meme auteur) dès que je termine avec "le journal d'Anne Frank" mon livre de chevet en ce moment.
Il y a aussi Assia DJEBAR, Grande femme de lettres 100% algérienne.

Bonne lecture!

salam
il ya aussi Kateb Yacine."Nedjma" est une histoir a deux visage celle d'un amour interdit entre le jeune algerien e t la belle "nedjma"et d'1 autre coté elle decris la bataille de l'algerie et de la france pour la terre fertille qui est la terre d'algerie

Haem Haem ... lol

Je déplace ce sujet dans littérature ;)

Salam

chaima lee a écrit:

salam
il ya aussi Kateb Yacine."Nedjma" est une histoir a deux visage celle d'un amour interdit entre le jeune algerien e t la belle "nedjma"et d'1 autre coté elle decris la bataille de l'algerie et de la france pour la terre fertille qui est la terre d'algerie

tout à fait chère Chaima lee,on ne peut pas parler de littérature algérienne sans parler de "Kateb Yacine" ."Nedjma"(j'ai lu) on dit que c'est la femme éternelle ,c'est L'Algérie!son fils "Amazigh KATEB" fait du bon travail lui aussi mais dans l'univers de la musique "guénawi" il était membre du groupe "guénawa diffusion" mais depuis quelques mois les membres du groupe se sont séparés et lui continue sa carrière en solo.
Faut pas oublier "Mohamed DIB" qui ne se souvient pas de "dar esbitar",adaptation cinématographique de "la grande maison" réalisé par "Mustapha Badii"

Le topique a attiré mes regards ... Le fils du pauvre a été le premier livre algérien de mes lectures d'adolescente en ... non, je ne vous dirai pas l'âge de votre "tata"

Pour Chaima Lee, j'ai fait une petite recherche de plus pour toi et, pour Pericles, aussi ... là, il y a une interview qui date de 1953 et une petite synthèse de ma part sur les étapes du "Fils du pauvre" :

- La rédaction
La rédaction du Fils du pauvre a commencé en 1939. Mouloud Feraoun avait 26 ans. Il le finira entre septemre 1944 et octobre 1945. Au départ, le livre avait pour titre « Menrad Fouroulou » (où l’on retrouve le nom de Mouloud Feraoun). Il y avait deux parties : « La paix » et « La guerre » (cela rappelle Guerre et Paix de Léon Tolstoï, mais ne vous inquiétez pas, cela n’a rien à voir).

Le livre est présenté au Grand prix littéraire d’Algérie mais il est refusé. Ce qui est amusant, c’est qu’au départ, le roman comprenait, d’abord, 20 chapitres, après 25, ensuite lorsqu’il sera réécrit sous le titre du « Fils du pauvre, Menrad, instituteur kabyle ». Dans l’édition de 1954, le titre devient « Le fils du pauvre » avec 11 chapitres pour la première partie « La famille », et 7 chapitres pour la seconde « Le fils aîné ».

- L'interview (je ne mets pas tout, elle est vraiment trop longue)

"Interview de Mouloud Feraoun réalisée par Maurice Monnoyer en 1953
« … Mouloud Feraoun est discret, effacé, presque timide. Mais dès qu’il se trouve en confiance, il s’anime, il s’ouvre, et c’est l’homme le plus charmant que je connaisse. Pendant qu’il me parle, je l’observe sournoisement. Derrière les verres de ses claires lunettes d’écaille, pétillent deux bons yeux où tremble la lueur d’une profonde vie intérieure.

Il a posé ses deux mains très brunes sur ma table. Chaudement vêtu, nu-tête, il me paraît engoncé dans son pardessus marron.

Visage accueillant et sympathique, traversé de rides. Cheveux souples et noirs comme la moustache, cette petite couronne du sourire.

Parlez-moi de votre premier roman...
J’ai écrit Le Fils du pauvre pendant les années sombres de la guerre, à la lumière d’une lampe à pétrole. J’y ai mis le meilleur de mon être.

Roman autobiographique, n’est-ce pas ?
Oui... Je suis très attaché à ce livre, d’abord parce que je ne mangeais pas tous les jours à ma faim alors qu’il sortait de ma plume, ensuite parce qu’il m’a permis de prendre conscience de mes moyens. Le succès qu’il a remporté m’a encouragé à écrire d’autres livres.

Mon interlocuteur me précise qu’il est né à Tizi Hibel, commune mixte de Fort-National, en Haute-Kabylie, le 8 mars 1913, dans un foyer très pauvre."