Salam,
Ece que d'un point de vue religieu, un homme ( gynécologue ) à le droit de " toucher " une femme pendant son accouchement.
Je vous C/C ci-dessous un texte qui est apparut ds la presse française concernant un homme qui a agressé le gynécologue de sa femme, sachant qu'il (le gynécologue) étais là pr son accouchement. Qu'en pensez-vous ??
Le Collège national des gynécologues et
obstétriciens français (Cngof), qui revendique 3500 adhérents, soit
l'ensemble des gynécologues obstétriciens de France, a dévoilé jeudi
une agression jusque là tenue secrète, qui s'est déroulée en septembre
: un gynécologue de l'hôpital Robert Debré du 15e arrondissement de
Paris, qui venait ausculter une femme de confession musulmane qui
sortait d'un accouchement difficile, a été agressé par le mari.
L'homme
lui a sauté dessus, lui assenant des claques et l'insultant
copieusement, sous prétexte qu'il ne souhaitait pas qu'un médecin homme
examine sa femme. Le secrétaire général du Cngof a précisé qu'il ne
pouvait pas donner plus de détails car "une enquête est en cours", tout en précisant que le Collège était "solidaire" du confrère agressé, qui a "porté plainte pour coups et blessures".
D'après le Cngof, cette agression n'est pas la seule puisqu'une autre
similaire aurait eu lieu récemment dans un autre hôpital francilien. "Respect de la laïcité"
Le Collège national a décidé de révéler ces affaires pour dénoncer un phénomène qui s'étend dans les hôpitaux parisiens : "l'intégrisme musulman" à l'hôpital. "Les
gynécologues obstétriciens hommes devront-ils désormais être protégés
par la police pour exercer leur métier? Devront-ils disparaître comme
les professeurs de philosophie?", s'indigne le Cngof dans un
communiqué, dans une allusion au philosophe Robert Redeker qui a dû
être placé sous la protection de la police, après avoir publié une
tribune libre dans laquelle il s'interrogeait sur la réponse du monde
libre face à l'intégrisme musulman.
"Nous
voulons attirer l'attention des pouvoirs publics, des médias ainsi que
des gens impliqués dans la communication religieuse, nous voulons un
respect de la laïcité et du droit des médecins", poursuit le secrétaire du Cngof. "Nous
le disons fermement, nous continuerons à avoir des services où les
médecins hommes ou femmes apporteront les soins aux patients quel que
soit leur sexe. Nous défendrons la liberté des femmes à se déterminer
sur la contraception, l'avortement, la stérilisation sans l'avis de
leur mari", conclut le Cngof.